Il y a quelques temps, j’ai vu passer sur twitter, n’ayons pas peur des mots, une vidéo de fellation parfaite. Si tu te demandes à quoi ça pouvait bien ressembler, c’est bien simple : c’est comme une fellation normale, mais en plus lent.

Il faut reconnaitre que sur cette vidéo, le pompé possédait un fort joli organe. Pas spécialement énorme (je te connais, tu confonds toujours la taille et l’esthétique), mais juste : joli, bien proportionné, ni trop droit ni trop courbe, ni trop gros ni trop long, avec un gland bien dessiné et un prépuce qui décalotte entièrement. Le genre d’organe qui quand on l’a sous le nez motive pour prendre son temps.

Ce que fit le pompeur jusqu’à l’extrême, puisqu’à l’inverse de ce qui se pratique habituellement, au lieu d’accélérer le rythme au fur et à mesure de l’avancée des opérations, il avait plutôt tendance à ralentir. Un peu au début. Puis de plus en plus. Encore et encore. Au point de s’arrêter complètement, une main à la base de la verge, le gland dans la bouche, lorsque sa victime atteignit le point de non retour. Et là, merveille, on vit ce sexe bien tendu agité de spasmes et de convulsions pendant de longues secondes, cependant que le pompeur, imperturbable, s’obstinait à ne plus faire un geste ; jusqu’à ce qu’enfin le sperme s’écoule par la commissure de ses lèvres.

Le problème avec la plupart des garçons, c’est qu’ils ne supportent pas la lenteur. Ils essaient toujours de gigoter, de mettre des coups de reins, ou d’attraper la tête du pompeur pour imposer leur rythme.

C’est précisément pour ça qu’il faut les attacher.

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